Vi en territoire créole

Ce matin, reveil à 5h30..... nous (Baté, mon ancien coloc', Momo, Arnac et Flo) partons pour une randonnée découverte dans les hauterus de Saint-Paul, en plein oeur du parc nationnal. Après une montée à prêt de 1500m d'altitude, nous sommes attendue par 3 gardes assermentés et un afé chaud. la rando commence à 8h tapantes. Pour des étudiants comme nous, la "visite guidée" de cette portion du parc a été tres enrichissante: nous avons pu observé differentes plantes ave pour chacune d'entre elles une petite anedote, soit son interet médicinale ( règle douloureuse, "viagra-like" ou encore règle douloureuse). Il faisait un temps presque magnifique car cette randonnée à une partiularité, elle démarre sous la masse nuageuse pour finir au dessus. Lors de ce periple nous avons pu observezr un filaos vieux de 400 ans, des fleur-corail et une espèce d'escargot qui a internalisé sa coquille.... la fin du periple se fait dans les nuages: Spectacle impressionnant lors de la traversée de la forêt de pin au milieu des nuages sur le retour à la voiture.

Après cette randonnée de 6h, nous deidons d'un commun acord d'aller manger à saint-gilles puis de se jeter dans un bassin pour se rafraichir. Arrivée sur p

lace, un jeune homme fait de la orde de molle au dessus du bassin.... Cet arrêt m'a permis de vérifier l'étancheité de ma Gopro... je promet une chose dès la fin de cette première année sous les tropiques, je ferais un montage des videos que j'ai pu prendre dans mes differents periples et je la posterais en resumé sur le blog.... en attendant l'article de ma randonnée dans la plaines des fougères je vous souhaite à tous un joyeux noël
!

Dans ma chasse ininterrompu du rayon vert, je passe mon dimanche après-midi à étang salé.... le spéctacle fut indescriptible. non je ne l'ai pas vu car temps trop nuageux, mais je suis absolument sur d'une chose, le spectacle aurait eu une toute autre saveur colorimètrique. Des photos valent mieux qu'un long discours... Enjoy!

Dernièrement, on m'a annoncé que la "vraie" réunion se trouvait exclusivement au sud de l'île... Après deux mois sur l'île je n'ai qu'une seule chose à dire les choses les plus belles sur cette îles sont les bassins (je comprend tout à fait que le zoreille moyen aime se  dorer le cul à la plage mais rester sous 35°C sur une plage où la mer d'eau salé est remplacé par une marée humaine à beaucoup moins de charmes que de se prélasser à l'ombre des tamarin, manguiers et autres arbres présent dans l'intérieur des terres.
Cette semaine nous nous dirigeons donc vers la cascades des délices, le nom me laisse imaginer un endroit paradisiaque! mon intuition première était la bonne mais je vous ferais la description du lieu un peu plus bas.
Pour accéder à cette magnifique cascade, il faut se rendre au village de Sainte suzanne, à l'est, l'endroit de l'île où il est censé faire le plus moche! Encore une idée reçue, sur une si petite île ça fait beaucoup. En fait le bassin en lui-même se trouve dans l'arrière pays du quartier français. 

Le parking est situé à entre le collège de la ville et l'eglise de sainte Vivienne. de là part un sentier qui à la base assure la liaison entre l'écart de sainte vivienne et la route conduisant à Commune Ango. il est bétonné de bout en bout à l'exception de quelques pierres glissantes (surtout si il a plut dans les jours précédents). le site est fabuleux, pour commencer une énorme touffe de bambous, un magnifique letchis (se prononce letchi): même espèce que le leetchi (prononcé litchi) mais le reunionnais tient à la prononciation!). une passerelle traverse la rivière saint jean, au dessous de nous sur la gauche se trouve un bassin creusé dans la roche. le chemin serpente avec un léger dénivelé laissant apparaître quelques maisons noyés dans un océan de végétation. le chemin redescendants vers le bassin où se jette la cascades. en ce beau week end ensoleillé, il est envahit de marmailles qui enchaînent concours de figure ne sautant du haut de la cascade. Pour être plus au calme nous étendons nos serviettes au sommet de la cascade, grande espace de roche plate avec le court d'eau qui passent à proximité: idéale pour laisser les bières au frais!

Mon premier saut qualifié de dangereux par les marmaille a permis à notre équipe de rompre la glace rapidement avec la jeunesse locale... l'un d'entre eux que je felicitait d'avoir sauter du point le plus haut sur ce bassin m'a expliqué que ce bassin, malgré une fréquentation en constante augmentation restait quand même le lieux où il faut aller le week end car tout le monde s'y retrouve: les marmailles sautent de la cascade tandis que les parents dejeunes à l'ombre des bambous. Après midi sympathique avec es rencontres enrichissantes...

la semaine prochaine on retournera à étang salé histoire de voir un couché de soleil digne de ce nom en attendant je vous embrasse fort et pensez à mettre une petite laine avant de sortir!

Hier matin, après un petit apero dans les hauteurs de Saint-pierre, je me rend sur le site de Terre rouge, falaise donnant sur l'ocean indien.Un petit sentier, à droite avant un pont en pierre, passe dans une zone herbacée qui couvre la roche noire volcanique résultant de l’éruption du Piton Mont vert (éruption vieille de 20.000 années). Du haut de ce promontoire, on domine le gouffre (au fond duquel se trouve le bassin 18) qui s'ouvre sur l'océan. A marée haute, le bassin est en communication avec l'océan.

Lorsque les vagues viennent frapper contre les rocher, des dizaines de cabrot-sauteur (traduction littérale du créole en zizi sauteur mais vulgairement appelé un gobie) remonte contre le courant des vagues rejoignant le rocher le plus proche et y reste attacher par le biais de leur ventouse ventrale en attendant la prochaine déferlante. A marrée basse un petit ruisseau s'écoule jusqu'à l'ocean

L'appelation du bassin 18 viens d'une erreur de traduction du créole vers le français. A l'origine le bassin se prénommait le bassin des huîtres, nom donné en raison du grand nombre d'huitre qu'on y trouve. Comme le créole a un peu de mal a prononcé les "r" cela donna bassin des huit' jusqu'à devenir le bassin dix-huit(ou 18). Pour y accéder il faut suivre un chemin très escarpé sur de la roche friable. L'homme qui y descend doit être avertie car la moindre perte d'équilibre peut être dangereuse! Avant d'arriver jsuqu'au sentier il faut d'abord descendre le long de la falaise sur 2 à 3 mètres de denivelé. Dans la descente n'ayez pas peur d'y mettre les mains et de vous aider des branches . En bas, nous pouvons entendre le cri particulier du paille-en-queue. Une demi-douzaine de couple ont trouvé refuge dans des grottes le long de la falaise. Comme étant  au fond d'un gouffre, plein de petit plongeoirs naturels s'offrent a nous allant de 3 à 12 mètres de haut mais attention leur accès reste quand même une aventure en soit, il faut pouvoir grimper jusque là avec les mains et les pieds mouillés!

Ne faites pas trop les fous, un accident et vite arrivé!

Tout d'abord je tiens à m'excuser auprès de mon unique lecteur (moi dans le seul but de corriger quelques fautes d'orthographe) car je m'étais promis de publier au moins une fois par semaine... La raison de mon silence sur la toile s'explqiue une non-organisation de ma part. Un metro de ma promo' passe me prendre samedi soir dernier sans prévenir et m'embrriguade dans une soirée organisée dans le sud de l'île...Soirée DSK (docteur, sage-femme, kiné), qui n'a rien à voir avec notre ex-libidineux (sur décision de justice) même si il me semble avoir vu un mec déambuler en peignoir  pendant la soirée. 250 personnes, un DJ, un stand de grillade, une bar, une plage et l'océan indien je vous laisse imaginer!
le lendemain matin réveil sur la plage avec un mama qui passe avec différentes friandises reunionnaises (0.30 à 0.50€ pièce) et du café (1€). Je vais vous faire une confessions, il n'y a rien de plus grisant que de se reveiller encore un peu saoul, regarder le soleil se lever avec un petit café!!!
Je passe le reste de l'après-midi à la plage d'étang salé. Plage de sable noir très agréable, Andreas (le biarrot/surfeur de ma promo) se remet au surf avec une planche acheté la veille chez mickey ratz(australien de 50 ans, ancien surfeur, très sympathique). la seule chose pas rassurante c'est q'un requin a été vu de cette même plage 5 jours plus tard.

enfin bref je suis toujours en seul morceau et ça se passe toujours merveilleusement bien...

Sur le retour de bassin pichon, je feuillette le routard et tombe sur un bassin qui attire le regard de part son nom : le bassin malheur. je propose l'idée à Andreas, Thomas et Momo qui semblant tout trois emballés par cette idée. Rassemblement à l'appartement et nous embarquons à bord de la 106 réunionnaise d'andréas.

petit aparte: la particularité de la voiture, pot bruyant, vitres teintées et basses de 100 watts sur une 106 qui devait faire partie des premières sorties de l'usine lorsque ce modèle faisait partie de l'inovation technologiques tant attendues par des millions de français.

Le bassin est situé sur la route de Saint-Gilles les Hauts, environ 500 m après le théâtre de plein air, sur la droite. Un snack Bar et un petit parking nous indiquent qu'il faut s'arrêter. un arrêté préfectorale interdit  l'accés au trois bassins de cette région pour cause d'éboulement mais si on interroge la population, il semblerait qu'en fait cette interdiction est mise en place car l'eau provenant de ce bassin alimenterait la ville de saint-gilles les bains et donc qu'il est préférable pour la population de minimiser la pollution apportée par le touriste ( soit-dit en passant je pense que le réel pollueur est le réunionnais voir article plus bas). Malgré cette interdiction, les promeneurs sont nombreux et les sentiers sont entretenues. l'atteinte du bassin des aigrettes se fait sans réel difficulté: il suffit de rattraper le conduit d'eau et de le suivre jusqu'au bassin aigrette.

Magnifique cascade de quelques dizaines de mètres de haut qui tombent dans un bassin bleu bordé de rocher plat et de verdures. C'est la première halte pique-nique et baignade pour Andreas, Thomas et Momo. Pour ma part, la météo peu clémente m'a refroidi. Nous ne nous sommes pas attardé sur ce site magnifique car il n'était pas le but premier de notre visite. nous rebroussons chemin jusqu'à un petit ruisseau prenant sa source plus haut qu'il nous faudra suivre pour atteindre le bassin malheur. Bassin d'eau turquoise entouré de falaise présentant diffèrent spot pour sauter allant de 6 à 12 mètres de hauteur. Aux deux extrémités des grottes abritent quelques colonies de pigeon et de nombreux couples de pailles-en-queue, oiseau emblématique de la réunion. Il est bordé d'une plage de gravier où nous déposons nos serviettes pour se lancer dans une petite série de saut.

Pour ne pas être coincé par la tombée de la nuit, le retour doit se faire assez tôtcar le chemin du retour est assez accidenté. En effet, il faut marcher sur un muret qui longe le canal et surplombant un precipice de seulement quelques centaines de mètres s'il vous plaît. Par moment le muret est partiellement recouvert par la falaise ce qui oblige quelques acrobaties... Certaines fois, il est nécessaire de marcher les pieds dans l'eau dans des grottes sur une vingtaine de mètre. Franche rigolade assuré!

En conclusion le bassin malheur ne présente pas de grand intêret si ce n'est le chemin pour y accéder. la prochaine fois je pense aller voir le lagon à Saint-leu et par la même occasion l'association protégeant les tortues de mer.

Comme on dit par ici, talèr pour de nouvelles aventures!

Samedi, départ tardif pour un bassin méconnu des touristes et des locaux visiblement. Ce bassin est l'un des nombreux à l'ouest de l'île. Pour atteindre celui-là, la démarche n'a pas été facile: il faut entrer dans Saint André et prendre à droite après avoir passer un pont (super évident à trouver btw...). Ensuite, une route bordée par des champs de cannes, remplie de nid-de-poule nous mène devant ce qui devait être une ancienne maison coloniale.La descente de  voiture est obligatoire, l'aventure commence réellement maintenant!

Pour rejoindre la cascade il faut longer la clôture de la propriété sur la droite et prendre à gauche, puis après suivre la route qui semblerait, selon la plupart des guides, former un "U"... en cette période l'année tout les champs sont encore remplis de canne: difficile d'y voir clair... Si par bonheur vous arrivez jusqu'à l'oré de la forêt, il ne vous reste plus qu'à trouver le départ du chemin qui descends dans une forêt mêlant fougères et eucalyptus. A partir de ce point vous pouvez déja entendre le bruit de la cascade, puis en contre-bas en évitant soigneusement les bambous géant (ils poussent tellement haut qu'arriver à une certaine hauteur, ils cassent sous leur propre poids) vous apercevrez cette magnifique cascade bordée par une plage de galet où grenouille de toutes tailles bondissent entre l'eau et l'ombre des bambous.

Contrairement à ce que l'on pourrait penser en voyant le bassin, nous n'avons croisés personne à l'exception d'un agriculteur un peu brut de décoffrage quand nous avons pénétrer dans sa propriété.

Un petit cours sur l'evolution de la grenouille, quelques experiences bizarre et une partie de base-grenouille pour F²C, une démonstration de Kendo par Andreas... une petite journée bien drôle et divertissante!!!

Samedi, en grand innocent que je suis je pensais que nous pouvions enchaîner cascade niagara et bassin boeuf qui sont seulement espacés de quelques km. Mais la route de montagne est usante et sinueuse donc il a fallu se résoudre à abandonner et y retourner en voiture aujourd'hui.

Le bassin bœuf qui autrefois était nommé Bassin taureau doit son nom à une légende sur un taureau noir. Pour les curieux la légende du Bassin Bœuf !

Le bassin boeuf est un bassin au pied d'une cascade d'une quinzaine de mètres. On y arrive par différents chemins plus ou moins escarpés ce qui permet a tout randonneur de choisir son niveau de difficulté pour rejoindre ce cadre magique après avoir laissé la voiture sur le parking. A partir de l'aire de stationnement, et ce, jusqu'à l'arrivée au bord du bassin, la promenade est rythmée par l'ecoulement des eaux de la cascade du bassin Nicol puis remplacé par celui de la cascade du bassin Boeuf. Après un chemin en terre, nous passons à guet. A ce moment un choix s'offre à nous: soit continué par le chemin en terre qui remonte plus profondément dans la forêt ou sauter de rocher en rocher pour rattraper le bassin par la rivière.

Peu importe le chemin choisi, la cascade n'est plus loin. Il faut compter une vingtaine de minute depuis le parking pour rejoindre la terre promise.

C'est un bassin d'eau clair, en tant de grande pluie, bordé d'arbres. Quelques pierres plates planté au milieu de carré de verdure permettent d'étendre sa serviette après une baignade dans une eau à 20°C.

Après une petite escalade sur la gauche du bassin, une liane permet de s'adonner à un concours de figure avant d'entrer dans l'eau du bassin. Parmi le groupe de marcheurs qui m'ont suivi dans mon périple, certains sont plus professionnels que d'autres... Ce qui a été assez drôle c'est de voir l'explication de chacun et la réalisation de la figure (pour les 9gag's fan on serait dans du expectation vs reality). La palme revient incontestablement à mon coloc' Thomas qui a su enchaîner backflip sur backflip avec la souplesse et l'élegance du prince crapaud!!!

Non, sérieusement le voir réaliser cette figure avec tellement d'aisance en a impressionné plus d'un... Des créoles ont même essayé de l'engrainer dans ce qui devait être son dernier plongeon à mes yeux: la cascade! Sobre et sain d'esprit ce garçon a préféré rester plus proche du sol ce qui est une sage décision. Après 2h de baignades par 28°C à l'ombre, une session bronzette est mérité en regardant le concours de gamelles!

Sur le retour, nous avançons avec Morgan jusqu'au sommet de la cascade du bassin Nicol. Haute d'une trentaine de mètres, elle propose une vue imprenable sur le méandre de la rivière et sur l'ocean indien!

Encor une journée radieuse sur le territoire créole, je ne sais pas ce que demain me réserve mais chaque jour me fait apprécier un peu plus cette décision de partir à 10 000 km... A la prochaine pour toujours plus de cascades, toujours plus de soleil et toujours plus de....  (à vous de rajouter ce que vous voulez!)

Ce week end: opération cascade! Aujourd'hui je pars pour Sainte-Suzanne en bus avec Clement le marseillais pour aller voir la cascade Niagara...
A peine descendu du bus, nous sommes accueillis par le chant d'oiseau. En avançant sur la route qui longe la rivière sainte-suzanne, nous tombons bec-à-nez avec une colonnie d'oiseaux beliers. Le belier, appelé aussi le tisserin gendarme, est un oiseau de couleur jaune, qui a la particularité de confectionner son nid la tête en bas..

La cascade niagara est l'une des nombreuses cascades de la réunion qui se jette dans l'un des 76 bassins que compte l'île de la réunion. Situé à 1 km du centre de Sainte-suzanne, c'est une cascade facile d'accés au bout d'un sentier bétonné entre case en tôle, bananiers et champ de cannes. En cette periode, les agriculteurs ont ramassé une partie de leur récolte: occasion rêvée pour goûter à de la VRAIE canne. De bonnes dents et une glycémie du tonnerre sont de mises.

Située à moins de cent mètres d'altitude dans l'aval de la rivière Sainte-Suzanne, la cascade est bordé de bambou géant qui offrent quelques spots à l'ombre pour pique-niquer ou se laisser bercer le temps d'une sieste par le bruit de la chute d'eau.

Assurant un spectacle grandiose,lors de la saison des pluies, du haut de ses 55 mètres, la cascade Niagara se jette dans un bassin relativement large dans lequel touristes et badauds peuvent s’y baigner. En cette saison, les pluies sont rares donc le terme "grandiose" n'est plus vraiment d'actualité même si la promenade le long de la rivière et le cadre est epoustouflant! Sur le retour, un couple de gekko se dort le cuire le long du tronc d'un bananier. Nous aurions volontiers déguster une banane directement cueillie à la source mais elles sont encor trop verte. De retour dans le centre de sainte Suzanne, heureux hasard nous tombons sur un "zoreille" de ma promo (Dimitri) en plein footing qui nous propose gentiment de nous ramener jusqu'à Saint-denis.... Journée éblouissante et cadre magnifique, voilà la juste définition de la Réunion pour moi. Je sais que qu'il me reste encor beaucoup de chose à voir. Au moment où vous lirez ce post, je pense, tout du moins je l'espère, que je serais déjà reparti sur les routes pour de nouvelles aventures pleines de soleil et de rhum arrangé!!!

La première chose qui m'a choqué en arrivant à Saint-Denis, ceux sont les détritus et la dechetteriesauvage.... mon but principale n'est pas de descendre la ville. ce blog à pour but de ressortir mespensées, mes ressenties sur ce voyage et les differentes aventures inérantes à ce projet!

Étant la ville administrative ou chef-lieu de la réunion, nous sommes très très loin du paradis terrestre que les zoreille peuvent se faire. Cette ville ressemble à toute grande ville de métropole mais en pire... les poubelles sont quasiment inexistante: je crois que j'ai plus jeter dans les poubelles de particuliers que dans celles fournies par la ville... D'autres part le service de propreté de la ville pourrait être comparé à celui de Marseille ( loi du "fini-parti")... il passe plus de temps à se reposer à l'ombre qu'à ramasser les déchets ( sous 28°C en permanence cela peut se comprendre). je ne veux surtout pas blâmer le service d'entretien de la ville car la population à aussi son rôle à jouer. au pied des immeubles s'entassent

des montagnes d'electromenager et mobilier qui ne trouvent plus d'utilités au yeux de leurs anciens propriétaires. ces derniers, au lieu de faire le déplacement jusqu'à la déchetterie (oui parce que contre toute attente Saint-Denis en possède une), préfèrent les entasser juste devant leur fenêtre...

en conclusion pour le paradis terrestre à Saint-Denis on repassera ou alors il suffit d'aller un peu plus dans le sud où les gens sont un petit peu plus respectueux de l'environnement!